Jusque très tard jeudi soir les frères Florestal dont un arrêt de la Cour d'Appel de Port-au-Prince a ordonné la liberté, n'avaient pas encore recouvré celle-ci.
Le directeur exécutif du RNDDH, Pierre Espérance, qui a salué l'ordre de libération, en a profité pour dénoncer la décision du pouvoir de prendre occasion des pressions exercées en faveur de la libération des prisonniers politiques pour procéder à la relaxation de certains bandits des gangs Galil et Brandt. [RK]